Soan : ...Tant Pis

Pop Rock / France
(2009 - Sony Music)
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Lyrics

1. NEXT TIME


J'ai vendu la santé d'mon dos
En me pliant durant des s'maines
A grand renfort de "Bien sûr chef!"
J'suis là pour ça comme pour le reste
L'aiguille des minutes se fout d'ma gueule
Si la vie est une pute alors pourquoi je m'sens si seul ?

J'ai stoppé là, c'en était trop,
Et fraudé l'métro pour la peine
Avec dans mon coeur l'allégresse
D'me foutre de ça tout comme du reste
Et depuis je m'suis fait marginal
Je m'laisse pousser les rêves
Et je cours après les étoiles
Quitte à m'faire mal!

J'crame la vie, c'est pas bien grave
Jusqu'à présent les effluves
N'ont pas fait tomber l'déluge
Next time : j'la marave
J'crame la vie, c'est pas bien grave
Jusqu'à présent les effluves
N'ont pas fait tomber l'déluge
Next time : j'la marave

J'aime tant chanter l'amour, ma mère
Même si y a plus tant d'choses que j'aime
Si j'ai les bâtons dans les roues
Qu'auraient pu guérir d'un "je t'aime"
Même nuancé d'un "Faut qu'tu grandisses,
Mon fils" avec affection, prononcé sur le ton propice

J'aime tant chanter l'amour, mon père
Même si y en tant d'choses que j'déteste
Et tant d'humains à qui la peste
Irait comme une veste en velours
Mais putain, quand est-ce que tu m'dis qu't'es fier
De ton sale cabochard de mioche ou t'attends qu'on l'enterre
Quitte à t'faire taire...

Aaah, j'en ai fait des trucs foireux
De tout mon élan vers la vibe
De peur de ne valoir que dalle, à poil
Et devant tous ces gens
Mes excuses à mes actes manqués
Je sais bien qu'un jour je manqu'rai pas de m'terminer
Quitte à pêcher!

J'crame la vie, c'est pas bien grave
Jusqu'à présent les effluves
N'ont pas fait tomber l'déluge
Next time : j'la marave
J'crame la vie, c'est pas bien grave
Jusqu'à présent les effluves
N'ont pas fait tomber l'déluge
Next time : j'la marave

Tout ça pour dire mon fils
Que si t'arrives en ce théatre
Fais gaffe y a des coups de vis
A t'en faire péter les boulons
Mais p'têt' qu'on s'bâtira un monde à nous
En mode autarcique et on mettra la clé au clou
Libre et debout!
Mais pour l'instant, je m'casse les dents, c'est récurrent

Et j'crame la vie, c'est pas bien grave
Jusqu'à présent les effluves
N'ont pas fait tomber l'déluge
Next time : j'la marave
J'crame la vie, c'est pas bien grave
Jusqu'à présent les effluves
N'ont pas fait tomber l'déluge
Next time : j'la marave



2. SEQUELLES

J'ai mangé des croquettes, et depuis rien ne va,
J'ai des bouts de squelette, qui font n'importe quoi,
Des bouts de moi, qui n'en font qu'à leur tête.
Conduis-moi où les fées s'envolent,
Si toi tu reviens pas. Lalalala.

J'ai descendu l'absinthe et les parfums de toi,
Je me souviens l'étreinte et le son de ta voix, c'est un autre, et c'est ma faute à toi.
Conduis moi où l'efft s'envole,
Si toi tu reste là. Lalalala.

Refrain : J'aurai des séquelles à défauts des suite et,
Dieu sait quelles fiancées.
Des éclipses à accrocher à l'hotel de,
Tes quatre volontés, tes quatre volontés.

A quoi bon les audaces, me voilà replacé.
J'ai bien la carapace mais la gueule est cernée,
On s'emmerde une fois désemmusé
Conduis moi au sommet des rêves,
Reprends moi dans tes bras. Lalalala.

Refrain x2

Belle peine sêve de berlue,
J'ai rêvé de rêves et j'ai compris que le formol
Tire toi je t'aime chrysanthème due.
Vole mais quand même colle des ailes à mes grolles
Sweet camisole je t'ai vue. Sweet camisole je t'ai vue.

Refrain



3. EN CHEMIN

Dire qu'il y a tout à l'heure cinq ans
Mille mots amnésiques à mes yeux privés de toi
Pire, il y a les fleurs en passant nos instants bucoliques
Ton coeur a d'autres que moi...
J'ai même aimé d'autres femmes,
D'ères vaines en instants purs,
Chanté d'autres louanges
En pleine possession de mon âme
Et de l'aube à la rupture j'ai même aimé un ange...

En chemin, pour nulle part
Et ce soir, je me souviens...
En retard pour le train
J'ai marché de gare en gare
Et ta voix me revient (leaving is easy with eyes closed)
Ta voix me revient (living is spending all you see)

Dire qu'il y a des clous sur le fil
Et des villes à genoux de n'avoir su trouver leur rêve
Pire, il y a la mort tout au bout de nos humeurs cycliques
Il y a les amours qu'on achève
Et même qu'ils ont pris plaisir
A regarder crever chaque métempsycose obscène
En possession de mon drame
En flammes les écorchures
En panne les envies d'overdose

En chemin, pour nulle part
Et ce soir, je me souviens
En retard pour le train...
J'ai marché de gare en gare
Et ta voix me revient (leaving is easy with eyes closed)
Ta voix me revient (living is spending all you see)
Et ta voix me revient

En chemin, pour nulle part
Et ce soir, je me souviens
En retard pour le train
J'ai marché de gare en gare

En chemin, pour nulle part
Et ce soir, je me souviens
En retard pour le train
J'ai marché de gare en gare
Et ta voix me revient (leaving is easy with eyes closed)
Ta voix me revient (living is spending all you see)
Et ta voix me revient (leaving is easy with eyes closed)
Ta voix me revient (living is spending all you see)



4. THE STORM

I thought she was a hurricane
She said I' m a storm
Whisperin old fairytales
I' m turning on my own

Would you come and blow with me
Forever and a day
I' m so glad to cross your way
Said I, but I' m a tree

Sorry please kill me I need you

And anyway tomorrow comes
The season of the witch
I' ll be praying thunderstorms
If you don' t call the beast

I' m the one to disappear
She said I love you so
But love isn't everything
So "Shut!" said I and blow

Sorry please kill me I need you
If you missed me
I could miss you
I've been sober for a week
I don't need to grow for older

Sober and over
Sober and over
Sober and over

I thought she was a hurricane
She said i'm a storm whispering old fairytales
I' m turning on my own
Would you come and blow with me
Forever and a day
I' m so glad to cross your way
Said I but I' m a tree

Sorry please kill me I need you
If you missed me
I could miss you
I' ve been sober for a week
I don' t need to grow for older

Sober and over
Sober and over
Sober and over

I' ve been sober for a week
I don' t need to grow older
Sober and over
Sober and over
Sober and over



5. PUTAIN DE BALLERINE

C'est pas si beau l'amour
Quand c'est à toi que je pense
Dans les bras d'une autre
En attendant que tu reviennes
Qu'elle soit belle, je suis seul
Quand elle pousse des soupirs
Si j'osais je me foutrais de sa gueule
C'est pour te dire
C'est pas beau, vivantes ou mortes,
Les amours font mal aux dents
Et me voilà cœur impotent devant ta porte

Viens-là
Putain de ballerine
Juste danser pour moi
C'est pas la peine qu'on s'invente là
Que je te manque
La chute me chuchoterait tout bas

C'est pas si beau l'amour
Quand même ma mémoire me dit
C'était une autre ou je ne te crois pas
Celle-là n'a pu dire je t'aime à ton ivresse à bon marché
Arrête un peu de me jurer qu'elle fut tienne
Ça n'est pas à courte paille
Que les anges font merveille
Et qu'on en raille sans sommeil en suppliant

Viens-là
Putain de princesse
Juste briller pour moi
Du seul éclat digne de prose, là
Le temps que j'ose
Te faire la promesse encore une fois

Qu'un accordéon c'est de la musique
Et quand il court ça fait du pantalon
S'il se marie qu'on s'aime antique
C'est des mots d'amour au violon

Et moi j'ai pas la tête à ça
J'entends là le trépas
De belle rhétorique
C'est un maudit mot d'éclat
Que ce maudit mot-là
Silhouette pathétique
S'il y a les aléas
C'est un vers indigeste
Mais s'il y a là le geste
C'est un bout de toi
Qui s'en va



6. PAS POUR LUI

Je te promets des yeux
Pour les aveugles
Et des battements cardiaques
Pour le mari d'la veuve
Et pour le martinet, deux claques,
Je te le promets, la preuve
C'est que j'ai dit promis
Afin de promener mon oeuvre...
Et les crédules, aussi...

Je te promets des jambes
Pour nos idées cul-de-jatte
Et de la chair autour des os
Pour le peuple kanak
Et je t'offre le P.I.B.
De toute la nouvelle-angleterre
Ainsi que tes congés payés...
Je te promets des bolées d'air,
Une fusée pour voyager...

Je te promets l'espagne,
Médaille à ton veston...
Je te promets mille campagnes
A défendre tes opinions.
Je te promets même une route
Qui, sans doute, ne mène à rien.
Pour que tu partes pas trop loin
Même si tu marches, coûte'que coûte...
Que coûte...

Je te promets la fièvre
Même sans eau dans ton vin.
Je te promets le droit de grève
Et la santé pour tes gamins.
Si je n'te promets pas l'amour,
Je te promets le mariage,
Un amant pour te faire la cour,
Et la morale pour être sage...
Sans être sourd...

Je te promets des hôtes
Pour te garnir tablée...
Je te promets le droit de vote
Pour tes frangins immigrés.
Je t'offre toute la liberté
Qu'il faut pour te sentir vivant,
Un pauvre, à toi, pour l'exploiter,
Un dictionnaire des boniments...
Des boniments...

Je te fournirai mon estrade
Et je te donnerai mon nom,
Tous les chevaux de la Camargue,
Une voiture de patron...
Je t'enseignerai le mensonge
Alors, tu sauras comme moi
Qu'il faut que le peuple s'allonge
Pour supporter nos états.
Nos états.

Français/Françaises
J'en oubliais quelquechose :
Je vais légaliser l'herbe,
Eradiquer la ménopause...
Te rembourser tes cigarettes :
Elles font travailler les médecins!
Un euro, la bouteille de vin
Pour une France guillerette!
Guillerette!

Votez pour moi!
Pas pour lui, j'ai dit pour moi!
Votez pour moi!
Pas pour lui, j'ai dit pour moi!
Votez pour moi!
Pas pour lui, j'ai dit pour moi!
Votez pour moi!
Pas pour lui, j'ai dit pour moi!
Votez pour moi!
Pas pour lui, j'ai dit pour moi!


7. PUISQUE RIEN

Brille encore
Il paraît qu'en avril il fera beau
Et les oiseaux se foutent bien des grilles...
Crie encore...
Et haut!

Y en a marre, on va pas se laisser faire
Il paraît qu'en septembre, c'est la fin
Tout ça me semble un peu communautaire
Jusqu'en juin...
Rien n'vaut...

Octobre a plus d'une corde à son fusil
A la volée, plus d'un contestataire
C'est la bande à "pas fier" qui le dit
C'est pas rien...

Ce n'est pas rien, laissez-nous la bohème
Elle écrit de travers
C'est pas rien de nous laisser sur terre
Quand le vent nous soulèverait bien...

On ira,
Où tu voudras si c'est moi qui commande
S'ils nous attendent au fond de leur chapeau
On dira
Tout haut...

Des gros mots démodés qui nous ressemblent
Les mots dits feront semblant d'être beaux
La modestie c'est pas quand les mots tremblent
Entends bien un salaud
C'est pas des choses à dire à tes bretelles
C'est pas providentiellement costaud
Faut pas militanter les arcs-en-ciel
Puisque rien...

Puisque rien, laissez-nous la bohème
Elle écrit de travers
Puisque rien, me laissez pas sur terre
Si c'est pour jouer les clandestins...

Des gros mots démodés qui nous ressemblent
Les mots dits feront semblant d'être beaux
La modestie c'est pas quand les mots tremblent
Entends bien un salaud
C'est pas des choses à dire à tes bretelles
C'est pas providentiellement costaud
Faut pas militanter les arcs-en-ciel
Puisque rien...

Puisque rien, laissez-nous la bohème
Elle écrit de travers
Puisque rien, me laissez pas sur terre
Si c'est pour jouer les clandestins



8. EMILY

J'aimerais tenir dans mes mains ce maudit Saint Graal
Qui se cache, on ne sait "z'"où : Il se rit bien de nos promesses
Je ne serais pas mécontent que se pendent à mon cou
Quelques félicitations, un peu de gloire et bonne presse
Je n'ai rien contre la fortune et si je veux bien rester droit
J'aime autant dormir sous la lune uniquement quand c'est un choix
J'aimerais voir de nos yeux un gosse de moi sourire
Que ce p'tit con m'appelle papa, le voir grandir et vivre vieux...

Et si je n'ai rien de tout ça, peu importe
J'irai chanter devant ta porte, Emilie
Et si on ne m'ouvre pas, que le Diable m'emporte
Peu m'importe les saveurs du paradis!

J'aimerais découvrir le monde avant que d'en crever
Quitte à saigner de trop, de pas voir si la terre est ronde
Mourir un an, peut-être deux, me reposer un peu
Puis revenir en conquérant tant que mes dents tiennent ces lieux
Et même dans des oripeaux, des habits peu troués,
Martyrisés par manque de pot, une fois le temps d'abandonner
Moi qui voulais tous les ans virer les murs à tomber
Moi qui n'aurais su réussir, j'ensorcelle ton escalier

Et si je n'ai rien fait de moi, peu importe
Je chante devant ta porte, Emilie
Et si l'on ne m'ouvre pas, que le Diable m'emporte
Peu m'importe les saveurs du paradis!

Si je n'ai rien fait de moi, peu importe
Je chante devant ta porte, Emilie
Et si l'on ne m'ouvre pas, que le Diable m'emporte
Peu m'importe les saveurs du paradis!



9. PARISIENNES

On se lève d'un silence et déjà, j'y reviens,
Qu'elle est belle ton absence à ne me laisser rien,
C'est demain quand tu rêves et les mots défendus,
Si le vin te relève, j'ai bu.

On se lève d'un silence et déjà, j'y reviens.
Serait-ce ton absence qui pleure sur mes mains ?
C'est le bruit d'une étincelle et le ciel ne sait pas,
Si le vin te rappelle, je bois.

Mille et une pensées, j'ai pas reconnu la mienne
De mes amours de hyène, je t'ai mordu les pieds.
Je t'aime, comme on aime dans les chansons,
Du fin fond des nuits parisiennes.

On se lève d'un silence à l'écriture bancale.
En plus, j'y vois que dalle, il pleut sur mon cahier.
Les autres me bousculent ou c'est moi, je sais plus.
Je m'en vais, mes mains brûlent, les rues.

Si le "po" de poème, c'est la peau sur tes os,
Fais de moi qui tu aimes et je me ferai beau.
Mais les voix du silence me disent : "Elle partira",
Les reines se balancent, des rats.

Mille et une pensées, j'ai pas reconnu la mienne
De mes amours de hyène, je t'ai mordu les pieds.
Je t'aime, comme on aime dans les chansons
Du fin fond des nuits parisiennes!

Mes yeux c'est des oreilles en bois, j'en crois pas mes orteils.
Assis dans un commissariat je m'souviens pas pourquoi je n'ai pas eu sommeil!

Mille et une pensées, j'ai pas reconnu la mienne
De mes amours de hyène, je t'ai mordu les pieds.
Je t'aime, comme on aime dans les chansons
Du fin fond des nuits parisiennes!



10. ETHYLOTEST

Mon ange,
Ils ont pendu l'étranger
Je ne sens plus rien
Dis-moi que je dérange
Et les yeux dans tes mains
Je jure que je pâlis

Belles,
Leurs élans, le goût de rien
Mais nous volerons, c'est certain
Je connais des hirondelles
Et la mort, c'est pourquoi?

Quoi tu dis? Toi, je t'aime.
Et la mort, c'est pourquoi!
Quoi tu dis, toi...

(Sifflé)

Saigne,
Je saigne avec toi pour dire
Qu'on est vivant quand même
Et les yeux dans le pire
On aura qu'à sourire...
Un seul enfant...

Même frêle,
Nous enverra du chemin
Quand hier on n'est demain,
C'est un lutin qui t'appelle...

Et la mort, c'est pourquoi?
Quoi tu dis? Toi, je t'aime.
Et la mort, c'est pourquoi!
Quoi tu dis, toi...

(Sifflé)

Au dernier frisson du manque
Je me saoule avec ta peau
Ethylotest moi,
Tant que c'est pas défendu
De s'aimer dans les rues
Et qu'il est sale ce timbanque
C'est un mouton prévenu
Ethylotest, moi,

Tant que c'est pas défendu
D'être en jupe et tondu.



11. MONSTER

There' s a monster in my bedroom and the moonlight overthrows you
I' m ten years old...
No more fairytales to inhale even though I' m broken
My breath is hold and i feel lonesome, when she' s gone
I feel blind enough to pray when she 's away

I' m naked in a church and the preacher man wants an answer
Truth has been told
Hit me when I'm scared so that I can see I can bleed
my breath is hold and I feel lonesome, when she' s gone
I feel blind enough to pray when she 's away

But have you ever call the Lord
Searching for one another chord
That sounded like pearls of tears dropped in water
Searching your words as a piece of her

You thought that you were creeping
And according to the clouds you were
Six feet under this morning

Monster in my bedroom and the moonlight overthrows you
I sold the world
Kiss me when I'm there so that I can see if your lips
And if your soul feel lonesome, when I' m gone
Feel blind enough to pray when she's away



12. BELLEVILLE

Combien ça ferait de trottoirs
De nuits d'ivresse et d'avenir
Si par amour du biscornu
Soudain je n'sortais plus
Que pour soudoyer le hasard...
Le jour de miroir
Ne m'est pas revenu.
ça n'était qu'un espoir
Quand les oeils disaient toujours...
Chacun fait ce qu'il peut de mieux
Moi je rate mon tour

J'ai songé ce million de rimes, apollinaires,
il n'est plus rien à faire que de mourir digne.
J'ai songé les visions lunaires d'Amandine
Et mes yeux moleskine ont entamé la pierre.

Puisqu'elles mentent, les filles belles
Une étincelle à Belleville
Et tout ça n'était pas sérieux...
J'y crois comme à l'amour, la mort et comme à l'incertain
Je reverrai ton corps encore il frôlera mes mains
ça n'est pas juste les contours, demain je serai vieux
Je te reparlerai d'amour, la bave au coin des yeux!

J'ai songé ce million de rimes apollinaires,
Il n'est plus rien à faire que de mourir digne.
J'ai songé les visions lunaires d'Amandine
Et j'ai ruiné mon spleen à le trainer par terre.

Dans les hivers verts de nos brumes,
Je te respire et pire à pleins poumons
C'est un enfer à faire de nos lunes
Un cimetière à mon tiers de bon








Lyrics geaddet von cassie - Bearbeite die Lyrics